domingo, 31 de octubre de 2010
viernes, 29 de octubre de 2010
jueves, 28 de octubre de 2010
miércoles, 27 de octubre de 2010
martes, 26 de octubre de 2010
entevue de JUAN BAUTISTA avant son dèpart pour les AMERIQUES
De passage quelques jours dans sa propriété Gardoise avant de s'envoler pour un premier voyage en Amérique du Sud, Juan Bautista nous a accordé quelques instants pour faire le point sur la temporada qui s'achève et évoquer une saison importante qui se profile pour lui de l'autre côté de l'Atlantique :
Corridafrance : Quel bilan tires-tu de cette temporada 2010 ?
Juan Bautista : Un bilan positif. J'ai finalement toréé quarante corridas ; beaucoup d'entre elles dans des arènes importantes, et beaucoup de triomphes importants. Le triomphe qui marque le plus c'est Madrid, car ça reste l'arène la plus importante, mais après, il y a eu beaucoup d'après-midi très positives comme Bayonne, les deux triomphes d'Arles, Béziers, Grenade et les deux indultos que j'ai connu en Espagne. C'est vrai qu'on cherche toujours à faire mieux et il faudra améliorer encore certaines choses l'année prochaine, mais je suis tout de même satisfait de cette année 2010.
Corridafrance : Ne trouves-tu pas paradoxal que ce soit cette année, avec un nombre d'engagements réduits à Madrid que Las Ventas t'autorise cette fin de temporada aussi fructueuse ?
Juan Bautista : Comme quoi finalement, Madrid, ce n'est pas la peine d'y aller quatre fois, comme je l'avais fait les années précédentes. Puisqu'aussi bien en 2008 qu'en 2009, j'y avais toréé quatre fois et que justement ces huit corridas ne s'étaient pas spécialement bien passées. Les toros quelquefois ne m'avaient pas trop aidés. D'autres fois je n'avais pas été bien ou encore on ne s'était pas trop bien compris, le public et moi. Et forcément, ça avait donné par la suite des saisons un peu irrégulières, compliquées. Alors que cette année, alors que j'avais encore plus besoin qu'il se passe quelque chose, je n'étais engagé que deux fois à Madrid. Mais après une première corrida où les toros n'ont pas servi, j'ai touché deux bons toros lors de la seconde, qui m'ont permis de donner une bonne après-midi et de triompher ce jour là.
Corridafrance : Et au chapitre des déceptions ?
Juan Bautista : Il y a toujours dans la saison des courses qui sont plus décevantes. Dans les récentes, il y a Albacete car j'étais alors dans une bonne dynamique après une série de triomphes importants et je pensais vraiment faire quelque chose de bien là bas. C'est une bonne feria et ça me tenait à coeur d'y triompher. Et ce jour là, ça n'a pas pris. Les toros n'ont pas trop servi et je n'ai pas été a gusto. Il y a eu aussi la seule course que j'ai toréée à Nîmes et où les toros ne m'ont rien permis. J'aurais aimé que ça se passe mieux à Nîmes. C'est une arène que j'apprécie. J'aurais aimé aussi toréer un peu plus dans le Sud-Ouest, parce que je n'ai été programmé qu'à Bayonne. Mais j'y ai triomphé. Je pense que ce triomphe m'ouvrira l'an prochain les portes des autres grandes ferias du Sud-Ouest. Il y a eu comme ça quelques petites déceptions, mais dans l'ensemble, la saison reste très positive.
Corridafrance : Et maintenant, une saison Sud-Américaine chargée ?
Juan Bautista : Oui. C'est vrai que cette saison, j'ai pas mal de contrats là-bas et dans des ferias importantes. Je vais retourner à Mexico au moins une fois. Je vais faire ma présentation de Matador de toros à Lima, où je n'avais plus toréé depuis 1998 alors que j'étais novillero. Puis je retourne au Vénézuela qui est un Pays où je n'étais plus trop allé ces dernières années. J'en suis heureux. C'est un peu la récompense de la belle saison que j'ai connue en Europe. Du coup, ça va me permettre d'être en activité cet hiver donc d'être bien préparé pour le début de saison 2011.
Corridafrance : Enfin, comment se prépare le futur papa ?
Juan Bautista : (Rires) Bien, bien... C'est pour cet hiver aussi. Tant sur le plan professionnel que personnel, l'année 2010 a été très belle. Donc il reste encore deux mois et j'espère que tout va bien se passer
Corridafrance : Quel bilan tires-tu de cette temporada 2010 ?
Juan Bautista : Un bilan positif. J'ai finalement toréé quarante corridas ; beaucoup d'entre elles dans des arènes importantes, et beaucoup de triomphes importants. Le triomphe qui marque le plus c'est Madrid, car ça reste l'arène la plus importante, mais après, il y a eu beaucoup d'après-midi très positives comme Bayonne, les deux triomphes d'Arles, Béziers, Grenade et les deux indultos que j'ai connu en Espagne. C'est vrai qu'on cherche toujours à faire mieux et il faudra améliorer encore certaines choses l'année prochaine, mais je suis tout de même satisfait de cette année 2010.
Corridafrance : Ne trouves-tu pas paradoxal que ce soit cette année, avec un nombre d'engagements réduits à Madrid que Las Ventas t'autorise cette fin de temporada aussi fructueuse ?
Juan Bautista : Comme quoi finalement, Madrid, ce n'est pas la peine d'y aller quatre fois, comme je l'avais fait les années précédentes. Puisqu'aussi bien en 2008 qu'en 2009, j'y avais toréé quatre fois et que justement ces huit corridas ne s'étaient pas spécialement bien passées. Les toros quelquefois ne m'avaient pas trop aidés. D'autres fois je n'avais pas été bien ou encore on ne s'était pas trop bien compris, le public et moi. Et forcément, ça avait donné par la suite des saisons un peu irrégulières, compliquées. Alors que cette année, alors que j'avais encore plus besoin qu'il se passe quelque chose, je n'étais engagé que deux fois à Madrid. Mais après une première corrida où les toros n'ont pas servi, j'ai touché deux bons toros lors de la seconde, qui m'ont permis de donner une bonne après-midi et de triompher ce jour là.
Corridafrance : Et au chapitre des déceptions ?
Juan Bautista : Il y a toujours dans la saison des courses qui sont plus décevantes. Dans les récentes, il y a Albacete car j'étais alors dans une bonne dynamique après une série de triomphes importants et je pensais vraiment faire quelque chose de bien là bas. C'est une bonne feria et ça me tenait à coeur d'y triompher. Et ce jour là, ça n'a pas pris. Les toros n'ont pas trop servi et je n'ai pas été a gusto. Il y a eu aussi la seule course que j'ai toréée à Nîmes et où les toros ne m'ont rien permis. J'aurais aimé que ça se passe mieux à Nîmes. C'est une arène que j'apprécie. J'aurais aimé aussi toréer un peu plus dans le Sud-Ouest, parce que je n'ai été programmé qu'à Bayonne. Mais j'y ai triomphé. Je pense que ce triomphe m'ouvrira l'an prochain les portes des autres grandes ferias du Sud-Ouest. Il y a eu comme ça quelques petites déceptions, mais dans l'ensemble, la saison reste très positive.
Corridafrance : Et maintenant, une saison Sud-Américaine chargée ?
Juan Bautista : Oui. C'est vrai que cette saison, j'ai pas mal de contrats là-bas et dans des ferias importantes. Je vais retourner à Mexico au moins une fois. Je vais faire ma présentation de Matador de toros à Lima, où je n'avais plus toréé depuis 1998 alors que j'étais novillero. Puis je retourne au Vénézuela qui est un Pays où je n'étais plus trop allé ces dernières années. J'en suis heureux. C'est un peu la récompense de la belle saison que j'ai connue en Europe. Du coup, ça va me permettre d'être en activité cet hiver donc d'être bien préparé pour le début de saison 2011.
Corridafrance : Enfin, comment se prépare le futur papa ?
Juan Bautista : (Rires) Bien, bien... C'est pour cet hiver aussi. Tant sur le plan professionnel que personnel, l'année 2010 a été très belle. Donc il reste encore deux mois et j'espère que tout va bien se passer
MEHDI SAVALLI et ROBERTO PILES : ACCORD d`APODERAMIENTO pour UN AN
lunes, 25 de octubre de 2010
sábado, 23 de octubre de 2010
miércoles, 20 de octubre de 2010
dimanche à LA ALGABA SEVILLA
le festival flamenco de La Algaba (Séville) qui se déroulera le dimanche 24 octobre et dont les bénéfices alimenteront les caisses de l’école taurine, sera quelques part à l’image d’un monde à l’envers…En effet, les banderilleros Óscar Solís, Basilio Martín, Jaime Padilla, José Luis et Abraham Neiro ainsi que José Monge lidieront les toros offerts par Manolo González, Los Azores, Peñajara et Agustín Lunar.Pour officier en tant que banderilleros, on reconnaîtra Finito de Córdoba, Juan José Padilla, Salvador Vega, Daniel Luque et Conchi Ríos ! Insolite, non ?
martes, 19 de octubre de 2010
domingo, 17 de octubre de 2010
viernes, 15 de octubre de 2010
jueves, 14 de octubre de 2010
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